Corse: Nation ou région?!.
Corse, une colonie française ! .
La Corse ne fait ni, historiquement, ni en respect des accords et conventions du droit international partie de la France, sauf à reconnaître et à figer éternellement, encore aujourd’hui , les colonies et les territoires envahis au cours des siècles passés !.
Pour rappel (extrait Wikipédia ) :
Quatrième île de la mer Méditerranée par sa superficie, la Corse a été rattachée durant près de quatre siècles à la République de Gênes avant de se déclarer indépendante le 30 janvier 1735.
En 1755elle adopte la première constitution démocratique de l’ histoire moderne donnant pour la première fois le droit de vote aux femmes .
Le 15mai 1768 elle est cédée par Gênes à la France, contre son gré car elle se considère comme indépendante.
Elle estconquise militairement par le Royaume de France lors de la bataille de Ponte-Novo , le 9 mai 1769.
En 1755
Le 15
Elle est
Ainsi, comme on peut le constater sans pouvoir le contester , ce territoire n’est ni légalement ni volontairement une région française et ce, malgré les discours des présidents et autorités françaises dont, ironie, on soulignera le paradoxe propre d’ailleurs à tous les chefs d’états européens qui s’émeuvent du non respect de l’ autodétermination des peuples à disposer d’eux - mêmes quant à leur avenir au sein ou en dehors de pays avec lesquels les occidentaux sont en désaccord géostratégique mais, par contre, intransigeants sur la stricte observance des règles de l’ Etat de droit pour toute population qui, fut -ce au terme de consultations, de référendums, d’élections auraient l’outrecuidance de choisir une voie différente de celle imposée par ces apôtres de la pensée unique , la seule qui leur assure pouvoirs et privilèges d’imposer leur propagande idéologique made in UE.
Egalement plutôt affligeant d’entendre cet unique argument de la crise économico- financière que subirait ces « rebelles » en cas de sécession, pour ces « élites » politico-médiatiques européennes pourtant, d’après leurs discours, tellement préoccupées par le partage de valeurs autres que le capitalisme, la course au dieu Argent .
La crainte de la perte de ces petitsmorceaux de territoires, de ces parcelles de liberté retrouvée est, à l’ évidence , bien plus liée à leur seule volonté de maintenir un ensemble plus facile à gouverner, à diriger, à soumettre à l’idéologie dominante made in UE…
Ironiquement, onpourrait s’étonner de voir les autorités nationales tant accrochées à la « généreuse » nécessité d’allouer, depuis tant et tant d’années et sans beaucoup de succès, des sommes considérables à ces « néo -colonies » alors qu’en cas de retour à l’ indépendance , ces budgets d’aides diverses seraient libérés et bienvenus pour les finances publiques nationales en piteux état …
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